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Effets sanitaires des des rayonnements non ionisants de faible intensité

Revue Environmental Pollution 242 (31 mai 2018)

Ma règle de vie est simple : je ne m'expose pas quand je le peux, chez moi par exemple, et surtout quand je n'en ai pas besoin, quand ça ne me sert à rien !

Les antennes - relais de téléphonie mobile sont partout, et dans de nombreux pays en développement, il n’existe pas de lignes terrestres qui permettrait une communication sans exposition aux radiofréquences. 

L’installation  de  petits  dispositifs  de  transmission  (5G) fonctionnant à des fréquences plus élevées (24-70 GHz) environ tous les 300 m  le  long  des  trottoirs  dans  les  quartiers  résidentiels  s’est  accélérée dans  les pays   développés. Lille fait partie des villes cobayes.
les anti-complotistes, trop paresseux pour lire, ou payés par les industriels diseny déjà que la 5G, ce n'est pas pire que tout ce qui existe déjà.

Il   existe   d’autres   sources significatives   d’exposition, provenant  de  la WiFi,  des  compteurs  intelligents  et  bientôt  des  voitures autonomes  sans  conducteur. 

Par  conséquent, l’exposition  des  humains  a augmenté  de  façon  spectaculaire  au  cours  des  dernières  années,  et  continue d’augmenter rapidement. Bien que les dommages de ces expositions soient déjà constatés, le  degré  de  gravité  va  augmenter  principalement  avec  le  temps  en raison de la latence connue entre l’exposition et le développement de maladies tel que le cancer...

Les négationnistes ne connaissent personne dans leur entourage qui pourrait ébranler leur scientisme. Ils ne fréquentent pas les personnes EHS, ne sont pas allés chez elles ; pourquoi aller chez les fous ?

Page d’accueil de la revue :
w w w . e l s e v i e r . c o m/ l o c a t e / e n v p o l
Effets sanitaires thermiques et non thermiques des rayonnements non ionisants de faible intensité : un état des lieux international.

Extraits de la page :
https://www.antilinkynord.fr/file/MySmartCab/CEM_lexprecia-citoyens-c-enedis-sa-piece-43-1.pdf

RESUMÉ

L’exposition  aux  champs  électromagnétiques  basses  fréquences  et  radiofréquences  de  faible  intensité  représente  un  risque considérable pour la santé qui n’a pas été convenablement abordé par les organisations nationales et internationales telles que l’Organisation mondiale de la Santé  Il existe de solides preuves que l’exposition prolongée aux fréquences de téléphonie mobile sur de longues périodes augmente le risque de cancer du cerveau à la fois chez les humains et les animaux  Le(s) mécanisme(s) responsable(s)  implique(nt)  une  formation  de  dérivés  réactifs  de  l’oxygène,  une  modification  de  l’expression  des  gènes  et altération  de  l’ADN  à  travers  des  processus  épigénétiques  et  génétiques.   Des  études in vivo et in vitro démontrent des  effets
néfastes sur la reproduction masculine et féminine, s’expliquant probablement par la production de dérivés réactifs de l’oxygène  
De plus en plus d’éléments tendent à montrer que les expositions peuvent p
rovoquer des déficits neurocomportementaux et que certaines  personnes  développent  un  syndrome  d’“électrohypersensibilité”  ou  “maladie  des  micro-ondes”,  qui  est  l’un  des différents syndromes communément classés sous “intolérance environnementale idiopathique”  Bien que les symptômes ne
soient  pas  spécifiques,  de  nouveaux  indicateurs  biochimiques  et  des techniques  d’imagerie  permettent  des  diagnostics  qui excluent  que  les  symptômes  soient  seulement  psychosomatiques   Malheureusement,  les  normes  établies  par  la plupart  des organismes nationaux et internationaux ne visent pas la protection de la santé humaine  Ceci est particulièrement préoccupant chez les enfants, compte tenu de la rapide expansion de l’usage des nouvelles technologies sans fil, de la plus grand
e sensibilité de leur système nerveux en développement, de l’hyperconductivité de leurs tissus cérébraux, de la plus grande pénétration des radiofréquences par rapport à la taille de leur tête et d’
une exposition potentielle durant toute la durée de leur vie
© 2018 Publié par Elsevier Ltd


Extrait page 1


Notre préoccupation s’explique par un certain nombre de raisons. Dans le passé,   la   principale   source   d’exposition   de   la   population   générale aux radiofréquences provenait des signaux de radio et de télévision. Désormais, il y a presqu’autant de téléphones portables que de gens dans le monde, chacun d’entre eux étant exposé aux radiofréquences.

Les antennes - relais de téléphonie mobile sont partout, et dans de nombreux pays en développement, il n’existe pas de lignes terrestres qui permettrait une communication sans exposition aux radiofréquences. 

L’installation  de  petits  dispositifs  de  transmission  (5G) fonctionnant à des fréquences plus élevées (24-70 GHz) environ tous les 300 m  le  long  des  trottoirs  dans  les  quartiers  résidentiels  s’est  accélérée dans  les pays   développés. 

Il   existe   d’autres   sources significatives   d’exposition, provenant  de  la WiFi,  des  compteurs  intelligents  et  bientôt  des  voitures autonomes  sans  conducteur. 

Par  conséquent, l’exposition  des  humains  a augmenté  de  façon  spectaculaire  au  cours  des  dernières  années,  et  continue d’augmenter rapidement. Bien que les dommages de ces expositions soient déjà constatés, le  degré  de  gravité  va  augmenter  principalement  avec  le  temps  en raison de la latence connue entre l’exposition et le développement de maladies tel que le cancer.


Date de création : 31/12/2018 19:07
Dernière modification : 28/05/2019 10:49
Catégorie : Santé et Compteurs Communicants -
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